Aveu des témoignages fantaisistes des ex femmes de réconfort par le responsable de l'enquête coréenne de 1993
Voici la traduction d'une vidéo entre le Professeur coréen ANN Jung Geun (responsable de l’enquête en 1993 sur les témoignages des ex-femmes de réconfort) et de la journaliste japonaise OTAKA Miki en janvier 2014.
1993年の慰安婦証言調査の責任者だった韓国人教授安乗直と日本人ジャーナリスト大高未貴の2014年1月撮影のビデオの仏訳です。
Cette vidéo montre bien à quel point le responsable même de cette enquête doute des faits racontés par ces femmes de réconfort.
このビデオは、慰安婦たちから語られる事実が、どれほど疑わしいものであるか、調査の責任者でさえも疑っていることを良く示しています。
Il est lui-même convaincu qu'elles modifient sans cesse leurs déclarations afin que ces témoignages soient plus efficaces contre le Japon. Il est lui aussi persuadé que l'armée japonaise n'avait pas intérêt à massacrer les femmes de réconfort (même d'un point de vue femmes = marchandise, ce ne serait pas logique).
慰安婦たちの証言が反日に更に効果的であるように、絶えず発言内容を変化させていると、彼自身、そう思っています。同じく、日本軍が、(女性は商品であったという観点からも、論理的ではない)慰安婦の虐殺をする動機や理由がないと、彼も納得しています。
J'ai bien peur que ce professeur coréen ait des problèmes dans son pays, il risque d'être obligé de changer de pays ou de changer son discours. Mais au moins, grâce à lui, maintenant, nous sommes sûrs que ces témoignages des ex-femmes de réconfort sont en grande partie fantaisistes.
この韓国の教授が、自国で問題をこうむられないか、とても心配しています。国を変えるか、発言を変えることを迫られる恐れがあるでしょう。しかし、少なくとも彼のおかげで、慰安婦たちの証言が大部分において空想だということが、わたしたちには、はっきりしました。
Entre 21 minutes et 31 minutes (https://www.youtube.com/watch?v=rbzLa_NRGGc#t=1263) 21分から31分の部分にかけて
L’interview a été réalisé à Séoul, par une journaliste japonaise OTAKA Miki, le janvier en 2014.
La journaliste japonaise OTAKA (Journaliste) :
-Professeur, Avez-vous vu quelques anciennes femmes de réconfort ?
Le professeur de la Corée du Sud, AN Jung Geun (professeur) :
-J'ai contacté toutes celles qui sont présentées dans ce livre (la collection des témoignages de 19 femmes de réconfort coréennes enlevées ; édition japonaise par Akashi-Shoten). Et j'ai enquêté sur d'autres femmes qui étaient deux fois plus nombreuses que les femmes de ce livre. Les témoignages de ces femmes manquaient tellement de logique qu'ils étaient inutilisables, j'ai donc été obligé de les supprimer du livre. Pourtant, même les témoignages du livre, je ne suis pas sûr des faits. C'est juste « A peu près vrai », comme ça.
La journaliste :
-Quelle partie des témoignages avez-vous senti avoir manqué de logique, en écoutant parler ces femmes (du livre) ?
Le professeur :
-ça dépend de la personne. Je ne pourrai pas dire quelle partie est contradictoire sur chaque témoignage. En les écoutant un peu, j'ai su tout de suite qu'elles disaient des choses irréelles. Il y en avait quelques unes qui disaient tant de choses contradictoires par rapport aux documents. J'ai supprimé ces personnes.
La journaliste : -Ainsi 19 personnes...
Le professeur : -Comme il y a de nombreux cas, je ne peux pas dire simplement quelles choses sont contradictoires entre la première partie et la seconde partie de leurs histoires. Car chaque cas est différent. (23 :16)
La journaliste(24:14) :
-Professeur, c'était vous qui avez fait cet enquête de l'audition des femmes (1) avec le comité Téitaï-kyo(2)?
Le professeur : -Oui, c'est exact.
La journaliste : -Leurs témoignages changent beaucoup. Au début, Mme KIM Hak- Sun(en réalité :李 容洙 イ・ヨンス)disait qu'elle s'est enfuie de la maison, et qu'elle a suivi une personne parce que cette personne lui a montré un vêtement rouge. Mais au fur et à mesure elle a commencé à dire qu'elle a été amenée par la police militaire japonaise. Elle change souvent son histoire. Jusqu'où peut-on croire l'authenticité des témoignages de ces femmes ?
Le professeur : -Difficile... c'est difficile. Moi, je ne pense pas que l'on puisse faire avouer les faits aux anciennes femmes de réconfort avec un, deux, ou dix contacts. C'est trop court. Surtout avec les femmes de réconfort. Moi aussi, je ne saurai pas franchement parler d'une telle chose honteuse, je me demande si je pourrai le faire, je pense que c'est impossible, pour moi aussi. Avant que le problème des femmes de réconfort soit devenu un grand problème de la société coréenne, il existait déjà au Japon ''la maison aux tuiles rouges'' (un livre de KAWADA Fumiko), la façon d’interviewer les femmes en vivant avec elles sous le même toit comme leur fille pendant des années. Je pourrai faire confiance au résultat d'une recherche réalisée dans de telles conditions. C'est parce que l'on prend contact avec elles en tant qu'un humain.
Mais par contre ceci (le livre : la collection des témoignages de 19 anciennes femmes de réconfort du comité), on ne pourra pas savoir quels sont les faits réels après seulement un ou deux mois de recherche. Au début, très rarement, il y avait quand même quelques personnes (qui lui semblaient parler des faits réels). C'était au début. Mais il n'y en avait pas souvent. Ce n'était pas facile.... D'après mon expérience, ces femmes, en étant devenues populaires, en faisant du bruit avec le comité de Téïtaï-kyo et des gens, ont été moralement salies, de plus en plus... Elles se sont mise à parler de toutes les choses qui leur plaisent. Personne ne sait ce dont elles parlent. (26:55)
La journaliste: -Je suis allée à la maison des anciennes femmes de réconfort (Séoul). On m'a montré un film de témoignages : l'armée japonaise a tué avec un katana une fille de 14 ans du centre de réconfort en Chine, parce que la fille n'était pas utilisable , car trop jeune, comme femme de réconfort. Ensuite on l'a jetée dans la rue pour que des chiens mangent son cadavre. Je me demande si une femme devait être une importante marchandise pour le centre de réconfort. Selon la théorie économique, la logique naturelle aurait été d'attendre la maturité de cette fille pour la rendre femme de réconfort. Je me demande pour quelle avantage(profit) on tuerait une fille de 14 ans. Je me demande si ce témoignage est vrai. J'ai eu ce doute sur le témoignage de l'ancienne femme de réconfort.
Le professeur :
-Oui c'est cela. On, même l'armée japonaise, ne ferait pas un acte qui demande trop de coût. Cela demanderait trop de coût. Parce que tuer une personne n'est pas simple. Sans un coût psychologique extrêmement lourd, on ne pourra pas commettre un assassinat. Pourquoi tuera-t-on la fille sans raison. C'est pour ça que je trouve bizarre cette histoire.
La journaliste :
De nombreuses femmes témoignent que l'armée japonaise a blessé leur corps, comme le ventre, avec un poignard. Dans deux livres de deux anciennes femmes de réconfort coréennes, il y avait certainement de bons et de très mauvais soldats japonais : une femme coréenne s'est disputée avec un soldat japonais, et elle a fini par le tuer : Mme Mun Okuju(3) témoigne dans ce livre qu'elle a tué un soldat arrogant. Elle a dû se présenter au tribunal martial, ce dernier a reconnu son autodéfense légitime et elle a été innocentée. C'était ce soldat tué que l'armée japonaise accusait en disant « avoir utilisé son katana contre une femme de réconfort est scandaleux ». Alors si on se demande quel genre d'hommes maltraitait les femmes de réconfort, la réponse est écrite dans ce livre, c'était les coréens qui géraient le centre de réconfort. J'ai donc eu une question, d'après un point de vue de marchandise (économique), si l'armée japonaise aurait pu abîmer, sans réfléchir, le corps des femmes, même si elles n'obéissaient pas.
Le professeur :
-Je me demande. D'après mes recherches, ce serait possible que les femmes de réconfort reçoivent des coups de violence dans le centre de réconfort. Mais il n'y avait pas autant de liberté (de les faire). L'armée japonaise envoyait la police militaire pour surveiller en permanence. Ce n'était donc pas possible d'avoir une telle violence. Un acte violent instantané aurait pu arriver malgré la présence de la police militaire. Car, dans la chambre, il n'y a que deux personnes, (homme et femme). Ça aurait pu arriver. Mais j'ai un doute si un soldat pouvait entrer avec son Katana dans la chambre. Je me demande si les soldats portaient leur Katana pour aller au centre de réconfort...
La journaliste : -Alors pourquoi leur témoignage est si différent...
Le professeur : -c'est parce qu'elles parlent des choses impossibles.(rire)
La journaliste :
-Pourquoi le contenu de leur témoignage devient de plus en plus violent ? C'est parce que le comité(2) félicite les femmes qui disent les choses de pire en pire sur le Japon, en leur disant «vous vous êtes bien débrouillées !»?
Le professeur :
-Dans leur monde, une telle atmosphère existe. A vrai dire, je n'aimerais plus volontairement m'approcher (du comité). (31:31)
(1)Le professeur émérite de l'université de Séoul, ANN Jung Geun (1936-), Historien de l'économie, s'est occupé de l’audition des anciennes femmes de réconfort en 1993.ソウル大学名誉教授、安乗直(1936-)、経済の歴史家。1993年の慰安婦聞き取り調査を担当した。教授の慰安婦問題に関するもうひとつのビデオ。
une autre vidéo du professeur sur le problème des femmes de réconfort :
http://daisukinipponfrance.over-blog.com/2014/03/video-d-un-professeur-coreen.html
(2)Le comité de la solution du problème de Téïshiïn-taï (ouvriers forcés pendant WW2) de la Corée du Sud, fondé en novembre le 1990. L'agence de sécurité de la Corée du Sud observe le comité comme un groupe pro-Corée du Nord, qui collabore avec l'institution des agences secrètes et qui interprète les intérêts de la Corée du Nord. Le nom du comité traduit en anglais n'est pas fidèle, manipulant pour donner l'impression que l'esclavage sexuel forcé par l'armée japonaise soit un fait historiquement prouvé aux anglophones du monde entier :The Korean Council for the Women Drafted for Military Sexual Slavery by Japan" )
韓国挺身隊問題対策協議会(挺対協:第二次大戦中の強制労働者)1990年の11月に設立。韓国治安当局は「北朝鮮工作機関と連携し、北朝鮮の利益を代弁する親北団体」として監視している。世界の英語話者の人々に、日本軍による性奴隷が歴史的に証明された事実である印象操作をするべく、原文とは異なる英訳名になっている。
(http://www.sankei.com/world/news/140524/wor1405240024-n1.html)
(3)Le carnet de paiement de Mme Mun Okuju 給与明細書 :
★Une vidéo qui présente bien le rapport de l'armée américaine déjà traduit dans un post de ce blog et le livre d'une ex-femme de réconfort Coréenne, Mme Mun Okuju. 慰安婦の本とアメリカ軍リポートを比較しているビデオ
http://daisukinipponfrance.over-blog.com/2014/03/video-rapport-usa-et-livre-coreen.html
★Le rapport américain.
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La situation délicate autour de cette vidéo このビデオを巡るデリケートな状況:
(Extrait de l'article 24/09/2014 Shukan Bunshun Web : hebdomadaire du Japon)
L'interviewer OTAKA a publié le contenu dans le numéro du 10 avril du Shukan Bunshun. M.ANN a raconté : c'est « complètement nul » sur l'authenticité des témoignages des anciennes femmes de réconfort. OTAKA a conclu: « le professeur a reconnu ''l’échec de l'enquête''»
インタビューをした大高氏は、今春、その内容を「週刊文春」(4月10日号)で公表。安氏は元慰安婦証言の信憑性について「全然ダメ」などと述べたことを明かした。大高氏は記事で、安氏が「実質的な“調査失敗”を認めた」と結論付けた。
Cependant un autre hebdomadaire ''Shukan Kinyo-bi'' (Tokyo,12/09/2014) a présenté la réfutation contre l'hebdomadaire Bunshun : le professeur ANN nie le contenu de l'interview :«Je n'ai vraiment pas fait de discours dans ce sens-là» « j'ai juste parlé des difficultés de la recherche et des points problématiques. La phrase que j'ai reconnu ''l'échec substantiel de l'enquête'', est complètement la fabrication mensongère ».
だが、このたび「週刊金曜日」(9月12日号)が反論記事を掲載。その中で、安氏は「そもそもこういう趣旨の発言をしていない」とインタビューの内容自体を否定し、「調査の苦労話や問題点を語っただけで、『実質的な”調査失敗”』を認めただなんてまったくの捏造です」と述べている。
OTAKA : « L'interview a eu lieu à Séoul. Un photographe m'accompagnait ce jour-là. J'avais directement obtenu une permission de la part de M.ANN pour l'interview et le photographier. Mais je ne comptais pas publier la vidéo. Car la suppression de la liberté d'expression est énorme dans la société coréenne(6). Je m’inquiétais pour lui, Si la Corée du Sud découvre cette vidéo, la situation de M.ANN sera très difficile». Cependant M. ANN accuse Mme OTAKA et ''Shukan Bunshun'', quelques mois après la sortie de l'article:«J'envisage de demander des poursuites pour diffamation et fraude aux autorités judiciaires»(Shukan Kinyo-bi). Mme OTAKA :«Je n'avais donc pas d'autres choix que de publier la vidéo».
大高氏は「インタビューはソウル市内で行われました。当日はカメラマンを帯同し、安氏に直接、取材・撮影の許可を得て行われたものです。ですが、当初は、インタビュー動画の公開に私はあまり積極的ではありませんでした。というのも、言論弾圧が凄まじい韓国社会において、この動画の存在が知れ渡れば、安氏の立場は非常に厳しいものになるだろうと憂慮したからです」と話す。だが、安氏が現在になって、大高氏と「週刊文春」を「詐欺および名誉毀損で司法当局に告訴することも検討している」(「週刊金曜日」)と発言したため、「やむなく動画の公開を決断した」としている。
La vidéo montre M.ANN qui raconte tranquillement ses doutes sur les témoignages des femmes de réconfort. C'est un symbole visuel que la valeur existentielle de ''la collection des témoignages'' est niée par le propre responsable de l'enquête.
動画は、慰安婦証言への疑義を滔々と述べ立てる安氏の姿を映し出している。調査を担当した当事者が根本から「証言集」の存在価値を否定した恰好だ。
L'enquête mené par M.ANN a été arrangée, et ensuite publiée en 1993 sous la forme d'un livre ''la collection des témoignages''(par le comité de Téïtaï-kyo). Cette ''collection'' était une importante preuve pour ''les femmes de réconfort enlevées par l'armée japonaise'' et ''le dernier bastion'' pour le journal Asahi qui avait reconnu que les témoignages de YOSHIDA Seiji (4) étaient faux et qui avait supprimé ses articles(5).
安氏の聞き取り調査は「証言集」としてまとめられ、93年に刊行されている。この「証言集」は、特に、吉田清治証言を「虚偽」と認め、関連記事を取り消した「朝日新聞」(5)にとっては、当時の慰安婦たちに対する「強制性」を示す重要な証拠であり、”最後の砦”だった。
http://shukan.bunshun.jp/articles/-/4397
(4)Il était le seul témoin de l'enlèvement organisé par l'armée japonaise. L'article de ses aveux d'avoir menti;彼は日本軍に組織された強制連行の唯一の証人だった。彼の告白の記事:
(5)Le pardon du journal Asahi sur le problème des femmes de réconfort 朝日新聞の慰安婦記事における謝罪:
http://daisukinipponfrance.over-blog.com/2014/09/excuses-du-pdg-d-asahi-femmes-de-reconfort.html
Et deux articles qui explique l'importance des erreurs (volontaires) du journal Asahi、朝日新聞の(故意の)誤報の重要性を説明している二本の記事:
(6)Voici les photos des Historiens coréens insultés violemment pour traîtrise par leur compatriotes. Car ils ont parlé du problème des femmes de réconfort et l'annexion de la Corée par le Japon avec des documents, d'un point de vue objectif devant le public. Incroyable.
韓国の歴史家たちが売国奴として同胞から暴行をうけている写真をごらんください。彼らは慰安婦問題と日本による朝鮮併合を、資料をもとに客観的視点で公の場で語ったから、というのが暴行の理由です。信じられません。
Le professeur émérite de l'Université de Séoul, Historien d’économie, ANN Jung Geun. C'est lui qui parle dans la vidéo. (si quelqu'un peut donner la date et la situation des photos suivantes, merci d'avance de me donner les liens).
ソウル大学名誉教授の経済歴史家、安乗直です。(もし、これらの写真の日付と状況を知っている方がいたら、わたしまでリンクをください。よろしく)
(En bas) Le professeur économiste de l'Université de Séoul, LEE Youg-Hoon. Il a été agressé par le public car il a nié « l'enlèvement des femmes de réconfort par l'armée japonaise » en 2004. Il a été forcé de s'excuser en s'agenouillant devant les anciennes femmes de réconfort.
(下の写真は、)2004年に「慰安婦の強制連行」を否定した ソウル大学経済学部の李 栄薫教授は、 社会的な非難を受け、慰安婦達の前で土下座させられた。